
Les élections de juin prochain seront déterminantes pour l’avenir de la région Occitanie et de la France.
La précédente décennie aura été la démonstration éclatante des fractures historiques qui secouent notre pays. Notre région est un instrument de souveraineté qui peut nous permettre de solutionner ces difficultés.
Au cours de ma vie de député et de magistrat, j’ai été confronté à certains de ces maux : le terrorisme, l’insécurité massive, la désindustrialisation, le déclassement de la ruralité. Nous subissons une crise non seulement sociale, mais aussi civilisationnelle. Mes engagements sont simples mais concrets, pragmatiques et réalisables.
Elu pour réunir le pays et panser les plaies ouvertes par son président François Hollande, Emmanuel Macron prétendait que ce serait « lui ou le chaos ».
Nous avons les deux, comme en d’autres temps la défaite et le déshonneur.
Je m’engage à réunir tous ceux qui veulent transformer positivement notre pays, incarnant une liste ouverte et décomplexée capable de transcender les clivages politiques dans l’intérêt des citoyens.
Mes adversaires appartiennent aussi à cette classe politique qui a perdu le sens de l’Histoire. Ils ne sont même plus en capacité d’assurer l’intendance et la gestion administrative, ainsi que l’a amèrement prouvée la pandémie de coronavirus, qui a vu la France afficher aux yeux du monde entier son déclin en toute matière.
Carole Delga fut d’ailleurs membre du gouvernement sous François Hollande, « en même temps » qu’Emmanuel Macron. Leur seule conviction est le « progressisme », à ne surtout pas confondre avec le progrès réel sur les plans économiques, sociaux et humains. Ils sont les fossoyeurs de la France que nous aimions.
Aidez-nous à rassembler l’Occitanie autour des valeurs qui vous sont chères, pour avancer en confiance vers l’avenir.
Le progrès n’est pas le « progressisme » de nos adversaires. Le progrès ce n’est pas subir la mondialisation mais gagner dans le cadre mondialisé. Le progrès ce n’est pas avoir pour ambition d’être dans le vent, à l’image des feuilles mortes. Le progrès c’est vivre dans une société pacifiée, où vos enfants vivront mieux que vous.
Mes engagements sont simples mais concrets, pragmatiques et réalisables.
Pour sortir par le haut de ces crises, toutes les voix comptent.
La liste que je porte est la seule en mesure de renverser la table et de vous aider à traverser le mauvais vent qui s’annonce. Elle est à l’image de ces mairies dynamiques que sont Béziers, Perpignan, Moissac ou Beaucaire ! Elle est ouverte, rassembleuse, allergique au sectarisme qui confisque les pouvoirs politiques et médiatiques.
Je lutterai chaque instant contre les dérives contemporaines qui pourrissent le quotidien des habitants de la région.
La sécurité est nécessaire pour que notre société soit prospère.
Le mérite est nécessaire pour que notre société soit juste.
Il est temps d’arrêter de financer ceux qui nous détruisent, ceux qui compromettent notre avenir.
Nous serons justes dans l’utilisation des deniers de l’Etat. Il s’agit de vos impôts, donc de votre argent.
Nous devons donc nous protéger pour affronter le monde de demain en conquérants.
Protéger nos terroirs, notre agriculture, notre viticulture et notre nature.
Conquérir de nouveaux espaces technologiques en nous appuyant sur nos industries de pointe, parmi les premières dans le monde ainsi que le démontre chaque jour le secteur aéronautique.
Les fractures territoriales sont toutefois importantes, de même que les fractures sociales et culturelles. Si elles ne sont pas insurmontables, elles demandent de nous rassembler et de mettre un coup d’arrêt aux politiques qui amènent la division.
Nous serons justes dans l’utilisation des deniers de l’Etat. Il s’agit de vos impôts, donc de votre argent. Nous le gérerons en bon père de famille, conscients que chaque euro utilisé sort de la poche des contribuables.
C’est pourquoi nous réduirons le train de vie de la Région.
Les subventions seront distribuées intelligemment, notamment sous forme d’avances remboursables, de manière à évaluer la pertinence de nos choix stratégiques.
Il n’y a évidemment pas de prospérité possible sans sécurité, condition sine qua none pour bien vivre ensemble.
La région soutiendra toutes les communes qui feront le choix de la sécurité. Il n’est pas admissible d’avoir la boule au ventre en empruntant le TER ou en allant au lycée. Ce sens de la justice qui nous anime c’est celui du bien commun et de l’intérêt général ; c’est cela être Républicain.
Comme la France, l’Occitanie est depuis trop longtemps fracturée. Envoyer un message au pouvoir est désormais impératif. Il est minuit moins le quart : nous ne pourrons bientôt plus redresser la barre.
Il faut porter une vision de progrès pour répondre aux angoisses légitimes qui vous animent. La région Occitanie va devoir se relever des pertes dans le secteur aéronautique, dans l’industrie de manière générale, dans le tourisme ou dans l’agriculture. Elle a de nombreux moyens d’actions pour conduire de grands projets infrastructurels nécessaires à son développement et à son dynamisme économique ! Elle a tout ce qu’il faut pour ne plus dépendre uniquement de ses deux grandes métropoles, et s’appuyer sur cette France des sous-préfectures qui ne demande qu’à se redévelopper en grand !
Il convient de fédérer tous les électeurs attachés à l’Occitanie dès le premier tour du scrutin. Nous l’avons déjà réalisé avec Louis Aliot, Robert Ménard, Julien Sanchez ou Romain Lopez ! Il est possible de créer un renouveau !
Il n’y aura plus de « zones blanches », sans la fibre et sans voies rapides.
Il n’y aura plus d’habitants de l’Occitanie oubliés.
Nous aurons à cœur le bien commun, l’intérêt général, l’attractivité économique, la sécurité et l’emploi.
Nous vous écouterons, car c’est vous qui connaissez le mieux vos départements, vos terroirs, vos villes. Vous les faites vivre et vous savez ce dont vous avez besoin.
Nous ne serons pas donc un exécutif replié sur lui-même à Toulouse et Montpellier, mais toujours tourné vers les plus petits, ceux qui souffrent et qui ont le plus besoin d’un pouvoir politique fort, à même de prendre des décisions rapides et efficaces pour briser ce mur administratif qui vous étouffe.
Il convient de fédérer tous les électeurs attachés à l’Occitanie dès le premier tour du scrutin. Nous l’avons déjà réalisé avec Louis Aliot, Robert Ménard, Julien Sanchez ou Romain Lopez ! Il est possible de créer un renouveau !
Rassembler l’Occitanie : plus qu’une envie, une nécessité.
Jean-Paul Garraud
Candidat aux élections régionales 2021 en Occitanie