
Ce jour devait être un moment heureux, émouvant et enraciné.
Je voulais simplement déposer une gerbe de fleurs en hommage à mon ancêtre Henri Dulion, médecin et vétéran de la Première Guerre mondiale qui a donné son nom à une place de ma ville natale. Quelques « nervis » de la gauche haut-garonnaise, parmi lesquels le maire de Martres et le député Joël Aviragnet, ont tenté de m’en empêcher ainsi que je l’ai raconté dans un texte au magazine Valeurs Actuelles.
Une fois le calme revenu, je me suis recueilli en l’église de Martres auprès de Saint Vidian, martyr des conflits ayant opposé les sarrasins aux Francs. Dans l’après-midi, je me suis rendu à Toulouse pour retrouver cette si belle ville où j’ai longtemps été juge d’instruction.